«On nous signale depuis juillet 2020 de plus en plus de mélèzes dont les aiguilles dépérissent. Des observations plus approfondies ont révélé que le puceron du mélèze a laissé des traces bien visibles en de nombreux endroits, souvent en combinaison avec différentes maladies fon-giques. En plus de la chute des aiguilles du mélèze provoquée par Meria laricis, le champignon Sydowia polyspora (Syn. Sclerophoma pithyophila) a été associé pour la première fois au dépérissement des aiguilles de mélèze», écrit Protection de la forêt suisse dans son bulletin 2/2020.